C'est encore un gros bébé de deux mois, assez gauche mais mignon dans sa maladresse, j'ai des tendances gaga depuis qu'il est arrivé. Je me fais parfois peur à m’émerveiller devant du guano dont il fait offrande de façon un peu aléatoire...
Il évolue en semi-liberté, c'est-à-dire qu'il n'a pas de cage mais un nid, pour le moment il reste encore dépendant de la nourriture. Ici, comme dans les Vosges il passe la majeure partie de son temps sur la terrasse d'où il s'envole parfois.
Il évolue en semi-liberté, c'est-à-dire qu'il n'a pas de cage mais un nid, pour le moment il reste encore dépendant de la nourriture. Ici, comme dans les Vosges il passe la majeure partie de son temps sur la terrasse d'où il s'envole parfois.
Il est certain que de l'amener avec moi représente un challenge supplémentaire. Je ne compte plus les heures que j'ai passées à l'attendre en bas d'un perchoir improvisé ou le nombre d'escalade sur les toits pour aller la récupérer. D'un autre côté l'idée d'avoir un compagnon de voyage me ravi sachant l'amertume que dégage certains moments de solitude dans ce genre d'aventure.
Misty (la charrette) est arrivée il y a peu et Gaïa a commencé à manger seul dans l'heure qui a suivie.
Il m'a fallu expédier Misty depuis les Vosges, les chauffeurs du car étaient un petit peu trop scrupuleux, grand bien leur en fasse. (Bon plan déménagement et envois volumineux : Fretbay)
Déjà, et avant même le départ on n'est pas bien fiers tous les deux en réalité. Gaïa a perdu une griffe en se prenant pour un albatros. Pour ma part la reprise du roller maintenant mon bras réparé s'annonce difficile. On n'en est pas moins serins et confiants, on fait des progrès tous les jours, le départ est pour bientôt.
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